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− | L'orgue fut inauguré par Pierre Du Mage. Il traversa le XVIII<sup>è</sup> siècle et la révolution sans encombre. | + | L'orgue fut inauguré par Pierre Du Mage. Il traversa le XVIII<sup>è</sup> siècle et la révolution sans encombre. Une réparation importante fut effectuée par François Thierry en 1737 pour 5000 livres, et Claude Deschamps intervint aussi en 1751, pour un montant de 207 livres. C'est probablement François Thierry qui est à l'origine des modifications de composition<ref>date non précisée par A. Raugel</ref>, à savoir : |
+ | * au positif, cymbale et cornet au lieu de flûte 4 et quarte de nasard ; la trompette est divisée en basses & dessus (ce qui était peut-être déjà le cas) | ||
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+ | * au récit, Flûte 8, Bourdon 4 et Doublette à la place du Cornet<ref>plus des modifications possibles à la pédale (suppression du ravalement ??) difficiles à établir avec certitude</ref>. | ||
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* plafond dépassant le 1/8 pied, qui était la limite habituelle à l'époque classique ; ici, on atteint le 1/12 (et Gonzalez pratiquait parfois le 1/16, comme à Soissons) ; | * plafond dépassant le 1/8 pied, qui était la limite habituelle à l'époque classique ; ici, on atteint le 1/12 (et Gonzalez pratiquait parfois le 1/16, comme à Soissons) ; | ||
* résultantes de 16 (= rang 5 1/3) évitées, sauf dans l'extrême aigu, ou bien | * résultantes de 16 (= rang 5 1/3) évitées, sauf dans l'extrême aigu, ou bien | ||
− | * isolées sur un registre (ici, la Grosse Fourniture) ; cette "recette", d'ailleurs très utile, allait être reprise par d'autres facteurs tels qu'Alfred Kern. L'arrivée d'une résultante 16 sur le 4° ut, comme ici, est vraiment tardive, la facture classique la prévoyant souvent au 3° fa, voire encore plus tôt dans les très grands instruments ; | + | * isolées sur un registre (ici, la Grosse Fourniture) ; cette "recette", d'ailleurs très utile, allait être reprise par d'autres facteurs tels qu'Alfred Kern. L'arrivée d'une résultante 16 sur le 4° ut, comme ici, est vraiment tardive, la facture classique la prévoyant souvent au 3° fa, voire encore plus tôt dans les très grands instruments ; |
* schéma de reprises complexe, avec reprises de quinte, et évitant les coïncidences entre différentes mixtures afin de "masquer" les reprises dans les grands ensembles (plenum ou tutti néo-classique avec mixtures et anches) | * schéma de reprises complexe, avec reprises de quinte, et évitant les coïncidences entre différentes mixtures afin de "masquer" les reprises dans les grands ensembles (plenum ou tutti néo-classique avec mixtures et anches) | ||
− | * souci d'éviter les reprises dans l'ambitus mélodique (en gros, ut ou ré 3 - sol ou la 4) | + | * souci d'éviter les reprises dans l'ambitus mélodique (en gros, ut ou ré 3 - sol ou la 4) |
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Version actuelle datée du 25 septembre 2023 à 06:43
Sommaire
Avertissement
Voir la page Saint-Quentin, Basilique (2023) concernant l'orgue tel que reconstruit en 2023.
Historique
Les origines
Selon André Raugel, la première mention qui nous est faite de l'instrument se trouve dans un compte de la sénéchaussée du Vermandois, consigné par Claude Emmeré. Ce compte nous apprend que, l'an 1329, l'orgue étant en mauvais état dut être réparé par Bauduin Corbisson. Ce facteur est un des plus anciens facteurs français connus. Quant à l'orgue, il était situé dans la première croisée sud. En 1455, le chapitre décidait de placer de nouvelles orgues contre la tour St Michel. Après un incendie survenu en 1545, de nouvelles orgues furent installées ; elles furent, en 1620, "raccomodées et augmentées de pédales et d'autres nouveaux jeux par maître Crespin [Carlier] natif de la ville de Laon et très excellent facteur d'orgues, moyennant la somme de 2000 livres".
L'orgue Robert Clicquot
Nouvel incendie en 1669, qui détruisit les orgues. Des potiers d'étain récupérèrent ce qu'ils pouvaient dans les décombres et offrirent les lingots au chapitre. Le Chapitre attribua à Robert Clicquot, vainqueur de l'appel d'offres, un nouvel orgue le 26 novembre 1694.
La construction de la tribune est confiée à un maître sculpteur saint-quentinois : Henri Gérard de la Motte. Le buffet est dessiné par Jean Berain et réalisé par Pierre Vaideau, respectivement dessinateur et menuisier au service du Roi. Cet instrument est terminé en 1703. Sa composition était (selon André Raugel) :
I - Positif dorsal | II - Grand Orgue | III - Récit | IV - Echo | Pédale |
---|---|---|---|---|
Montre 8 | Montre 16 | Cornet (d) | Bourdon 8 (a) | Flûte 12 |
Bourdon 8 | Bourdon 16 | Trompette (d) | Prestant 4 (a) | Flûte 6 |
Prestant 4 | Jeu ouvert 8 | Nasard 2 2/3 (b) | Trompette 12 | |
Flûte 4 | Bourdon 8 | Quarte de nasard 2 (b) | Clairon 6 | |
Nasard 2 2/3 | Prestant 4 | Tierce 1 3/5 (b) | ||
Doublette 2 | Flûte 4 (c) | Fourniture III | ||
Quarte de Nasard 2 | Grosse tierce 3 1/5 | Cymbale II | ||
Tierce 1 3/5 | Nasard 2 2/3 | Cromorne 8 | ||
Larigot 1 1/3 | Doublette 2 | Voix humaine 8 | ||
Fourniture IV | Quarte de Nasard 2 | |||
Trompette 8 | Petite tierce 1 3/5 | |||
Cromorne 8 | Grand cornet V (Ut 3) | |||
Clairon 4 | Grosse fourniture III | |||
Petite fourniture II | ||||
Cymbale IV | ||||
Cromorne 8 | ||||
Voix humaine 8 | ||||
Trompette 8 | ||||
Clairon 4 |
(a) sur un seul registre ; (b) sur un autre registre ; (c) bouchée, selon A. Raugel ; (d) de l'orgue précédent
Étendue des claviers : 50 notes (Ut 1 - Ré 5 sans premier Ut #) pour les deux premiers, 34 notes (fa 2 - ré 5) pour les deux derniers, et 35 notes (Fa 0 - Ré 3) pour la pédale. Selon A. Raugel, l'écho aurait été prévu à 39 notes (commençant donc au 2° Ut), mais sans doute pas réalisé ainsi, car attesté à 34 notes plus tard : les sommiers ne rétrécissent pas à l'usage...
L'orgue fut inauguré par Pierre Du Mage. Il traversa le XVIIIè siècle et la révolution sans encombre. Une réparation importante fut effectuée par François Thierry en 1737 pour 5000 livres, et Claude Deschamps intervint aussi en 1751, pour un montant de 207 livres. C'est probablement François Thierry qui est à l'origine des modifications de composition[1], à savoir :
- au positif, cymbale et cornet au lieu de flûte 4 et quarte de nasard ; la trompette est divisée en basses & dessus (ce qui était peut-être déjà le cas)
- au grand orgue, dessus de flûte 8 (Ut 2) au lieu de Flûte 4 ; plus de grosse tierce ; Bombarde 16 et 2° Trompette 8 à la place du cromorne
- au récit, Flûte 8, Bourdon 4 et Doublette à la place du Cornet[2].
L'orgue Antoine Sauvage
En 1845, une restauration complète est confiée à Antoine Sauvage, facteur d'orgues au Petit Montrouge dans la banlieue de Paris et disciple d'Aristide Cavaillé-Coll, qui installe alors une machine Barker et effectue des modifications dans l'esthétique romantique naissante. Il en résulta la composition suivante :
Grand Orgue | Positif | Récit expr. | Pédale |
---|---|---|---|
Montre 16 | Bourdon 16 | Flûte harm. 8 | Flûte 32 |
Violoncelle 16 | Montre 8 | Gambe 8 | Flûte 16 |
Bourdon 16 | Flûte 8 | Bourdon 8 | Flûte 8 |
Montre 8 | Salicional 8 | Flûte harm. 4 | Flûte 4 |
Flûte traversière 8 | Bourdon 8 | Octavin 2 | Bombarde 32 |
Flûte 8 | Gambe 8 | Cor anglais 16 | Bombarde 16 |
Gambe 8 | Prestant 4 | Trompette harm. 8 | Basson 16 |
Bourdon 8 | Salicional 4 | Voix humaine 8 | Trompette 8 |
Prestant 4 | Doublette 2 | Hautbois 8 | Clairon 4 |
Gambe 4 | Cornet | ||
Nasard 2 2/3 | Basson 8 | Tremolo | |
Doublette 2 | Trompette 8 | ||
Fourniture | Euphone 8 | ||
Cymbale | Clairon 4 | ||
Cornet | |||
Bombarde 16 | |||
Trompette harm. 8 | |||
2è trompette 8 | |||
Clairon 4 |
Claviers de 54 notes, pédalier de 30 notes (Ut à Fa), mais 25 notes seulement au sommier (Ut 1 à Ut 3), le reste en tirasse.
L'inauguration eut lieu le 6 juin 1850, l'orgue étant tenu par Lefébure-Wély et Riballier, ce dernier organiste à Soissons.
Combinaisons : Tirasse GO ; octaves aiguës de la pédale ; anches pédale ; anches GO (3 pédales : basses, tutti, dessus) ; POS/GO ; R/GO ; Octaves graves GO, P, R.
En 1888, Auguste Brisset effectue un relevage.
En 1917, la tuyauterie est fondue, la mécanique détruite et le buffet sérieusement endommagé. Ce dernier est restauré parallèlement à la remise en état de la Basilique.
L'orgue Haerpfer-Erman
La reconstruction fut confiée en 1961 à la manufacture Haerpfer-Erman, de Boulay (Moselle). L'inauguration eut les 27 et 28 mai 1967, assurée par Jean-Jacques Grunenwald et Henri Doyen.
Il était alors l'orgue le plus imposant de Picardie.
Illustrations et informations disponibles à cette adresse : http://inventaire.picardie.fr/docs/PALISSYIM02004587.html
Description
Console
Console en fenêtre. 4 claviers de 61 notes et pédalier de 32 notes. Tirage de jeux par tirants situés de part et d'autre des claviers. Tirasses, accouplements et annulateurs par dominos au-dessus des claviers doublés de poussoirs au-dessus du pédalier.
Transmissions
Traction mécanique pour les claviers et le pédalier, électriques pour les jeux. L'accouplement Récit / Grand Orgue est électrique. Les tirasses et accouplements sont manœuvrés par un appareillage électropneumatique.
Sommiers
Sommiers à registres en chêne de la forêt d'Ottonville (près de Boulay, siège de la maison Haerpfer). Le sommier du grand orgue est au centre, celui du récit immédiatement derrière, l'écho est au-dessus des claviers. Les sommiers de pédales, diatoniques, sont placés sur les côtés. Le principal 32 et la bombarde 32 sont placés sur moteurs pneumatiques.
Tuyauterie
Tuyauterie de bois réalisée en sapin des Vosges et en acajou. Tuyaux de métal en étain, étoffe[3] ou cuivre rouge[4].
Soufflerie
Ventilateur Meidinger. Soufflerie primaire à 160 mm pour l'alimentation du tirage des jeux. Les pressions étaient, en 1967, de 75 mm au Grand Orgue, 65 mm au positif, 95 mm au récit, 55 mm à l'écho, et 85 mm à la pédale.
Composition
Composition en 1967
I. Positif | II. Grand-Orgue | III. Récit expressif | IV. Echo | Pédale |
---|---|---|---|---|
Montre 8 | Montre 16 | Quintaton 16 | Cor de nuit 8 | Principal 32 |
Bourdon 8 | Bourdon 16 | Principal 8 | Flûte à fuseau 4 | Principal 16 |
Gemshorn 8 | Montre 8 | Flûte harmonique 8 | Quarte de nasard 2 | Soubasse 16 |
Prestant 4 | Bourdon 8 | Cor de nuit 8 | Piccolo 1 | Principal 8 |
Flûte 4 | Spillflöte 8 | Dulciane 8 | Sesquialtera II | Flûte 8 |
Nasard 2 2/3 | Gros nasard 5 1/3 | Unda maris 8 | Cymbale IV | Bourdon 8 |
Doublette 2 | Prestant 4 | Prestant 4 | Chalumeau 8 | Principal 4 |
Blockflöte 2 | Flûte à cheminée 4 | Flûte 4 | Flûte 4 | |
Tierce 1 3/5 | Grosse Tierce 3 1/5 | Doublette 2 | Principal 2 | |
Larigot 1 1/3 | Doublette 2 | Cornet III | Flûte 2 | |
Fourniture V | Quarte de nasard 2 | Fourniture V | Cornet III | |
Cymbale IV | Cornet V | Cymbale IV | Fourniture VI | |
Cromorne 8 | Grande fourniture VIII | Bombarde 16 | Bombarde 32 | |
Trompette 8 | Petite fourniture IV | Trompette 8 | Bombarde 16 | |
Clairon 4 | Cymbale IV | Hautbois 8 | Ranquette 16 | |
Bombarde 16 | Voix Humaine 8 | Trompette 8 | ||
Trompette 8 | Clairon 4 | Clairon 4 | ||
Clairon 4 | Clairon 2 |
Accouplements : Positif/GO, Récit/GO, Récit/Positif, Echo/GO, Echo/Récit, Echo/Positif Tirasses GO, Positif, Récit, Echo. Annulations anches et annulations mutations pour chaque plan sonore. Trémolo Récit.
La composition ne semble pas avoir évolué (en 2017).
Composition des mixtures
État de 1967, selon l'article de Félix Raugel (cf. sources). On relève quelques caractéristiques de l'époque néo-classique :
- plafond dépassant le 1/8 pied, qui était la limite habituelle à l'époque classique ; ici, on atteint le 1/12 (et Gonzalez pratiquait parfois le 1/16, comme à Soissons) ;
- résultantes de 16 (= rang 5 1/3) évitées, sauf dans l'extrême aigu, ou bien
- isolées sur un registre (ici, la Grosse Fourniture) ; cette "recette", d'ailleurs très utile, allait être reprise par d'autres facteurs tels qu'Alfred Kern. L'arrivée d'une résultante 16 sur le 4° ut, comme ici, est vraiment tardive, la facture classique la prévoyant souvent au 3° fa, voire encore plus tôt dans les très grands instruments ;
- schéma de reprises complexe, avec reprises de quinte, et évitant les coïncidences entre différentes mixtures afin de "masquer" les reprises dans les grands ensembles (plenum ou tutti néo-classique avec mixtures et anches)
- souci d'éviter les reprises dans l'ambitus mélodique (en gros, ut ou ré 3 - sol ou la 4)
Ut 1 | Mi 1 | Sol 1 | La 1 | Ut 2 | Ré 2 | Fa 2 | Sol 2 | La 2 | Sib 2 | Ut 3 | Ré 3 | Fa 3 | Ut 4 | Fa 4 | Sol 4 | La 4 | Si 4 | Ut 5 | Ré 5 | Fa 5 | Sol 5 | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
GO : | 2 2/3 | 4 | 5 1/3 | 8 | ||||||||||||||||||
GF VIII | 2 | 2 2/3 | 4 | 5 1/3 | ||||||||||||||||||
1 1/3 | 2 | 2 2/3 | 4 | |||||||||||||||||||
1 | 1 1/3 | 2 | 4 | |||||||||||||||||||
2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 2/3 | |||||||||||||||||||
2/3 | 2/3 | 1 1/3 | 2 2/3 | |||||||||||||||||||
1/2 | 2/3 | 1 | 2 | |||||||||||||||||||
1/2 | 1/2 | 1 | 2 | |||||||||||||||||||
GO : | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | 4 | |||||||||||||||||
PF IV | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | |||||||||||||||||
1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | ||||||||||||||||||
1/3 | 1/2 | 1 | 1 1/3 | 1 1/3 | ||||||||||||||||||
GO : | 1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | ||||||||||||||||
CY IV | 1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | ||||||||||||||||
1/4 | 1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | |||||||||||||||||
1/6 | 1/4 | 1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 1/3 | |||||||||||||||||
POS : | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | 4 | 5 1/3 | |||||||||||||||||
F V | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | 4 | |||||||||||||||||
2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | ||||||||||||||||||
1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | ||||||||||||||||||
1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 | 2 | ||||||||||||||||||
POS : | 1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | |||||||||||||||
CY IV | 1/4 | 1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 | 2 | 2 2/3 | |||||||||||||||
1/6 | 1/4 | 1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 1/3 | 2 | ||||||||||||||||
1/8 | 1/6 | 1/4 | 1/2 | 2/3 | 1 1/3 | 2 | ||||||||||||||||
REC : | 2 | 2 2/3 | 4 | 4 | 5 1/3 | 8 | ||||||||||||||||
F V | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | 2 2/3 | 4 | 5 1/3 | ||||||||||||||||
1 | 1 1/3 | 2 | 2 | 2 2/3 | 4 | |||||||||||||||||
2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 | 2 2/3 | |||||||||||||||||
1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 1 1/3 | 2 | |||||||||||||||||
REC : | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | 2 2/3 | 4 | ||||||||||||||||
CY IV | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 | 2 2/3 | ||||||||||||||||
1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 1 1/3 | 2 | |||||||||||||||||
1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | |||||||||||||||||
ECHO : | 1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | 2 2/3 | |||||||||||||||
CY IV | 1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | 2 2/3 | |||||||||||||||
1/4 | 1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 | 1 1/3 | 2 | ||||||||||||||||
1/6 | 1/4 | 1/3 | 1/2 | 2/3 | 1 | 2 | ||||||||||||||||
PED : | 4 | |||||||||||||||||||||
F VI | 2 2/3 | |||||||||||||||||||||
2 | ||||||||||||||||||||||
1 1/3 | ||||||||||||||||||||||
1 | ||||||||||||||||||||||
2/3 |
État
assez bon en septembre 2017. Un projet de restauration associé à la restauration du buffet est en cours d'élaboration. Entretenu depuis 2003 par Daniel Decavel.
Édifice et localisation
Carte
Notes et références
Sources
André Raugel, les Grandes Orgues et le organistes de la basilique de Saint-Quentin, Imprimerie de la Presse de Seine-et-Oise, Argenteuil, 1925
Félix Raugel, les Grandes Orgues et le organistes de la basilique de Saint-Quentin, dans L'Orgue n°122-123, 1967
Visite impromptue, novembre 2014 (A. Magnien)
- ↑ date non précisée par A. Raugel
- ↑ plus des modifications possibles à la pédale (suppression du ravalement ??) difficiles à établir avec certitude
- ↑ désignation traditionnelle (cf. Dom Bedos...) d'un alliage étain-plomb à 30% d'étain
- ↑ probablement pour la bombarde 32 ; le cuivre était en vogue à l'époque pour les résonateurs de grande taille, cf. aussi Amiens. La contrebombarde d'Amiens fut d'ailleurs démontée en 1965... et transférée ici ?