Un compte-rendu de visite de Jean Pascal, daté de 1951, fait état d'un orgue à un clavier et pédalier, sans marque de fabrique et semblant remonter à "une centaine d'années", alors que le buffet est contemporain de l'édification de l'église, et avait été destiné à accueillir un orgue plus important.
Il s'agissait d'un instrument mécanique, avec un clavier expressif de 54 notes et un pédalier en tirasse permanente de 18 marches. Si l'on en croit une biographe de l'écrivain Maxence van der Meersch, il s'agissait de l'orgue touché par son grand-père<ref>''"En 1858, le curé de Bondues, l'Abbé Delemer, cherchait un chantre qui sache tenir l'orgue inauguré l'année précédente ; le Maire Casimir Lecat s'inquiétait de la qualité de l'harmonie municipale, et selon Monsieur Leduc, Directeur, l'école communale-pensionnat de garçons devait avoir un professeur de musique. Les trois notables rédigèrent don ensemble une annonce à paraître dans l'un de ces bulletins d'informations pour le clergé qui commençaient à circuler dans les diocèses. Et le curé de Denterghem y vit, pour son protégé, le doigt de Dieu. Louis s'en vint donc à Bondues [...]"''. extr. de Térèse Bonte, "Van der Meersch au plus près", Artois Presses Université, 2002, page 21</ref>. Sa composition était, en 1951 :
Bourdon 16 - Montre 8 - Bourdon 8 - Gambe 8 - Voix céleste 8 - Prestant 4 - Flûte douce 4 - Basson (B) - Hautbois (D).