1 446 octets ajoutés,
13 décembre 2019 à 16:39 [[Category:Orgue disparu]][[Category:Particulier]][[Category:Lille]]
Le Journal de Roubaix, en son édition du 2 septembre 1857, publie une annonce du grand magasin de pianos "A l'accord parfait" (Lille, 20 rue de la grande-chaussée) concernant un orgue de salon à deux claviers et pédalier :
<table border="1" cellspacing="1" cellpadding="2">
<tr>
<td><strong>Grand Orgue (61 notes) </strong></td>
<td><strong>Récit (61 notes ?)</strong></td>
<td><strong>Pédalier (18 notes)</strong></td>
</tr>
<tr>
<td>Flûte 8</td>
<td>Gambe 8 (49 notes)</td>
<td>Euphone 16 (12 notes) </td>
</tr>
<tr>
<td>Bourdon 8</td>
<td>Voix céleste (49 notes) </td>
<td> </td>
</tr>
<tr>
<td>Prestant 4</td>
<td>Hautbois (37 notes)</td>
<td> </td>
</tr>
<tr>
<td>Doublette 2</td>
<td>Euphone 8 (24 notes)</td>
<td> </td>
</tr>
</table>
Buffet en acajou, deux glaces s'ouvrant par devant. Pédale pour la boîte expressive, qui enferme tout l'orgue. Accouplement des claviers ; trémolo (tous deux par registres).
"Une pédale pour que l'organiste puisse souffler lui-même au besoin".
N.B. l'étendue des jeux du récit laisse penser à un clavier de 5 octaves (comme au grand orgue), avec la gambe et la voix céleste commençant au 2° ut, et l'euphone-hautbois constituant un jeu sur cinq octaves. Le pédalier est très probablement en tirasse permanente du G.O.