Modifications

Sauter à la navigation Sauter à la recherche

Lille, Conservatoire - Grand auditorium

3 octets ajoutés, 19 décembre 2019 à 22:41
<td class="xl66" style="border-top: medium none; border-left: medium none; width: 164px;">&nbsp;</td>
</tr>
</table>
3 boutons de combinaison pour les jeux du Grand-Orgue et de la Pédale : Dolce, Forte, Tutti<br />Pédales de Combinaison : Orage ; Tirasses GO, Pos, Réc ; Anches Péd, GO, Pos, Réc ; Expressions Pos, Réc ; Trémolo Réc<br />Appel GO, Pos/GO, Réc/GO, Réc/Pos
</table>3 boutons de combinaison pour les jeux du Grand-Orgue et de la Pédale : Dolce, Forte, Tutti<br />Pédales de Combinaison : Orage ; Tirasses GO, Pos, Réc ; Anches Péd, GO, Pos, Réc ; Expressions Pos, Réc ; Trémolo Réc<br />Appel GO, Pos/GO, Réc/GO, Réc/Pos<br />&nbsp;<br />Transmission tubulaires à tous les claviers avec relais pneumatiques à vent fort. Sommier de Récit à double laie. Sommier de Positif à double chape. Sommiers de GO et de Pédales à vent séparé pour chaque jeu. 4 réservoirs fournissant à chaque sommier du vent de pressions différentes.
Le 11 décembre 1902, l'organiste Deckers y interprète le 3° choral de Franck, au cours d'un concert où l'on entend aussi une ouverture de Franz von Suppé et le concerto de Vieuxtemps, la soliste étant une élève du conservatoire âgée de douze ans. [<ref>source : Guy Gosselin, la symphonie dans la cité]</ref>.
Le 18 avril 1921, il accueillit Marcel Dupré pour un récital avec orchestre (dir. Victor Gallois). Le programme interprété par Marcel Dupré était : concerto inédit de Haendel (le journal ne précise pas avec ou sans orchestre), Sonate [sic] et fugue en ré mineur de J.S. Bach, enfin prélude et fugue en sol mineur de Dupré, "extrêmement délicat et d'une disposition moderne" selon le journaliste <ref>[[ERT ]] 19/4/1921]</ref>. Marcel Dupré s'était annoncé comme "organiste de N.D. de Paris" à ce concert aussi, alors qu'il était remplaçant, et l'on sait que le titulaire de l'époque, Louis Vierne, lui en a tenu rigueur.
Peu avant la transformation par Jacquot-Lavergne en 1959, Jean Cau constate que :

Menu de navigation